Réparation de l’ADN : ATM s’oppose aux liaisons dangereuses
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  Biologie
        
      
Plusieurs mécanismes de réparation des cassures de l’ADN ont été caractérisés. Mais la manière dont s’effectue le choix entre ces mécanismes est moins connue. Une étude mené par une équipe de l’Institut de pharmacologie et de biologie structurale (IPBS) parue dans la revue Nucleic Acids Research, révèle comment la voie de réparation adéquate est sélectionnée en présence de cassures de l’ADN particulières, à la base de la toxicité de certaines molécules anticancéreuses. Perturber le choix entre les voies de réparation pourrait offrir une perspective pour améliorer l’efficacité de ces traitements.
Contact
Sébastien Britton
  Chercheur CNRS en biologie à l'Institut de pharmacologie et biologie structurale (IPBS - CNRS, Université Toulouse III - Paul Sabatier)